
CV
studio@julienguinand.fr
Référencé par
Documents d’artistes
Auvergne-Rhône-Alpes.
Membre de l’ADAGP.
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Julien Guinand développe un travail photographique documentaire et expérimental centré sur le territoire, dans des lieux où se joue une histoire sociale et environnementale. Il s’intéresse aux écologies abîmées — issues de la modernisation, de catastrophes ou d’occupations industrielles et militaires. La nature composite de son travail s’étend à la vidéo, au son et à la collecte de documents et d’archives.  
Formé en lettres, musique et arts plastiques, Julien Guinand est diplômé en 2000 de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles. Depuis 2007, il intervient à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Lyon. En 2009, il cofonde l’école de photographie Bloo, qu’il dirige jusqu’en 2018, et intervient régulièrement dans des écoles d’art et universités.
En 2017, il est résident à la Villa Kujoyama à Kyoto, lauréat de la commande nationale du CNAP – Les Regards du Grand Paris, et soutenu par la Fondation des Artistes pour un long projet au Japon. Intitulé Two Mountains, il documente la fabrique et la destruction du paysage dans le Japon contemporain. Il a donné lieu à un livre publié aux éditions Hatje Cantz en 2021 et à une exposition majeure au Musée des Beaux-Arts de Chambéry en 2022. La même année, il entame une résidence de création au Centre d’art éditeur Le Point du Jour à Cherbourg, explorant la nucléarisation du territoire et son impact sur l'environnement. En 2024, il reçoit le Soutien à la photographie documentaire contemporaine du CNAP pour poursuivre ce projet dans la péninsule de Shimokita au Japon, aboutissant à l’exposition personnelle Presqu’îles au Point du Jour en 2025. Une nouvelle exposition, au Musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne, présentera en 2026 deux ans de résidence dans le bassin stéphanois.
Le travail de Julien Guinand figure dans des collections publiques et privées telles que le FNAC, le FRAC Auvergne et la Fondation Hermès, il est régulièrement cité dans des publications comme Photographie contemporaine & Anthropocène de Danièle Méaux (Filigranes) et 50 ans de photographie française de Michel Poivert (Textuel). Ses projets donnent lieu à des collaborations avec des scientifiques et historiens de l’art tels que Sophie Houdart et Jean-François Chevrier.
	
Formé en lettres, musique et arts plastiques, Julien Guinand est diplômé en 2000 de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles. Depuis 2007, il intervient à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Lyon. En 2009, il cofonde l’école de photographie Bloo, qu’il dirige jusqu’en 2018, et intervient régulièrement dans des écoles d’art et universités.
En 2017, il est résident à la Villa Kujoyama à Kyoto, lauréat de la commande nationale du CNAP – Les Regards du Grand Paris, et soutenu par la Fondation des Artistes pour un long projet au Japon. Intitulé Two Mountains, il documente la fabrique et la destruction du paysage dans le Japon contemporain. Il a donné lieu à un livre publié aux éditions Hatje Cantz en 2021 et à une exposition majeure au Musée des Beaux-Arts de Chambéry en 2022. La même année, il entame une résidence de création au Centre d’art éditeur Le Point du Jour à Cherbourg, explorant la nucléarisation du territoire et son impact sur l'environnement. En 2024, il reçoit le Soutien à la photographie documentaire contemporaine du CNAP pour poursuivre ce projet dans la péninsule de Shimokita au Japon, aboutissant à l’exposition personnelle Presqu’îles au Point du Jour en 2025. Une nouvelle exposition, au Musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne, présentera en 2026 deux ans de résidence dans le bassin stéphanois.
Le travail de Julien Guinand figure dans des collections publiques et privées telles que le FNAC, le FRAC Auvergne et la Fondation Hermès, il est régulièrement cité dans des publications comme Photographie contemporaine & Anthropocène de Danièle Méaux (Filigranes) et 50 ans de photographie française de Michel Poivert (Textuel). Ses projets donnent lieu à des collaborations avec des scientifiques et historiens de l’art tels que Sophie Houdart et Jean-François Chevrier.